Bonjour !
À la demande de professeure Gabrielle Saint-Yves, voici les étapes à suivre afin de convertir une présentation Powerpoint en fichier PDF. Pour ce faire, j'ai utilisé un logiciel gratuit appellé CutePDF. Pour le télécharger, vous n'avez qu'à cliquer ici.
Le principe est simple : lorsque le document est ouvert, faites comme si vous vouliez l'imprimer, mais au moment où vous voyez les options d'impression, selectionnez CutePDF au lieu de votre imprimante habituelle. Ensuite, on vous demande de l'enregistrer sous un nom et c'est tout. Bonne chance!
P.S. Merci à Cathy Lévesque pour ces précieux conseils ...
mardi 25 mars 2008
lundi 24 mars 2008
Conclusion!
Voilà!
C'est là-dessus que ce conclu le cours Méthodologie de l'enseignement du français langue étrangère. J'ai adoré vos leçons et je vous souhaite beaucoup de succès dans la poursuite de vos projets futurs.
Bonne fin de session à tous et à toutes ...
Sur ce, je vous laisse sur ces sages paroles de William Blake : « Celui qui n'ose pas regarder le soleil en face ne sera jamais une étoile. »
Source de l'image : http://lisztenprovence.free.fr/Photos/coucher-soleil.jpg
Documents PDF
samedi 15 mars 2008
Un mois et demi plus tard ...
Voilà!
Ma leçon sur l'utilisation des lettres majuscules est maintenant terminée et ma présentation Powerpoint sera disponible en ligne incessamment. À noter que j'ai bien aimé chacune de vos leçons. J'espère que la mienne sera tout aussi intéressante et que vous l'apprécierez.
Ah oui j'oubliais ! Un jour je rendrai disponible la liste des sites Internet qui m'ont été très utiles pour la préparation de cette fameuse leçon ... Peut-être vous seront-ils aussi profitables dans un avenir rapproché ... Qui sait ???
Ma leçon sur l'utilisation des lettres majuscules est maintenant terminée et ma présentation Powerpoint sera disponible en ligne incessamment. À noter que j'ai bien aimé chacune de vos leçons. J'espère que la mienne sera tout aussi intéressante et que vous l'apprécierez.
Ah oui j'oubliais ! Un jour je rendrai disponible la liste des sites Internet qui m'ont été très utiles pour la préparation de cette fameuse leçon ... Peut-être vous seront-ils aussi profitables dans un avenir rapproché ... Qui sait ???
mercredi 27 février 2008
Fiche pédagogique
J'ai profité de ce mercredi de congé pour terminer ma fiche pédagogique. Celle-ci est enfin en ligne et si vous voulez la consulter, sentez-vous à l'aise de le faire en cliquant ici.
Présentement, je suis en train d'organiser ma leçon et des liens Internet feront leur apparition soudaine dans quelques heures le temps de me permettre d'évaluer la qualité et surtout, la pertinence de chacun d'eux. Je suis aussi en train de préparer un mini-horaire afin de bien gérer mon temps pendant la leçon afin que celle-ci ne dure pas une heure ...
Pour ceux et celles qui n'ont pas le temps ou qui ne désirent pas voir ma fiche pédagogique, mais qui demandent quand même quel est le sujet de ma leçon, eh bien le voici : Je vais expliquer les règles grammaticales liées aux majuscules à l'aide de la musique punk ...
Source de l’image : http://www.evene.fr/musique/actualite/punk-30-ans-clash-pistols-1977-961.php
vendredi 15 février 2008
La classe de madame Lise
La classe de madame Lise est un documentaire de 90 minutes réalisé par Sylvie Groulx et produit par Francine Allaire (Galafilm). Ce mini-film nous a été présenté cette semaine en classe pour nous faire comprendre l'univers de l'enseignement du français langue seconde.
Voici le synopsis tiré du site Internet Les Films du 3 mars.
Ils s’appellent Rafik, Solace, Rahat, Jessica et Adonay. Ils ont six ans. Ils habitent Parc Extension, un quartier multiethnique au cœur de Montréal. Ce sont les élèves de Madame Lise. Pendant toute une année scolaire, la réalisatrice Sylvie Groulx observe leurs apprentissages, les énormes défis auxquels font face ces enfants, mais aussi leurs remarquables progrès, leurs rêves, leurs espoirs. Ainsi, elle témoigne du travail patient d’une enseignante composant simplement avec les nouvelles réalités urbaines : enfants d’origines ethniques diverses, différences culturelles majeures, apprentissage du français dans un milieu familial ignorant tout de cette langue. La classe de madame Lise, c’est aussi la bonne volonté d’un groupe d’enfants disparates, les complicités qui se tissent dans la différence, les sourires entendus, les bouderies et les moqueries dénuées de méchanceté. La classe de madame Lise, c’est enfin le portrait de Lise Coupal, institutrice chaleureuse et attentive, tolérante mais ferme, heureuse de découvrir chez un garçon timide un potentiel qu’elle ne soupçonnait pas. La Classe de madame Lise est une ode à l’enfance qui respire la foi en l’avenir et qui témoigne de la beauté de l’humanité.
Mention : Prix Jutra pour le meilleur documentaire, 2006; Compétition officielle aux Rendez-vous du cinéma québécois, 2006; Compétition officielle au Festival International du film francophone de Namur, 2006.
Pour voir l'article du quotidien Le Devoir intitulé : Dans la classe de madame Lise cliquez ici.
Voici le synopsis tiré du site Internet Les Films du 3 mars.
Ils s’appellent Rafik, Solace, Rahat, Jessica et Adonay. Ils ont six ans. Ils habitent Parc Extension, un quartier multiethnique au cœur de Montréal. Ce sont les élèves de Madame Lise. Pendant toute une année scolaire, la réalisatrice Sylvie Groulx observe leurs apprentissages, les énormes défis auxquels font face ces enfants, mais aussi leurs remarquables progrès, leurs rêves, leurs espoirs. Ainsi, elle témoigne du travail patient d’une enseignante composant simplement avec les nouvelles réalités urbaines : enfants d’origines ethniques diverses, différences culturelles majeures, apprentissage du français dans un milieu familial ignorant tout de cette langue. La classe de madame Lise, c’est aussi la bonne volonté d’un groupe d’enfants disparates, les complicités qui se tissent dans la différence, les sourires entendus, les bouderies et les moqueries dénuées de méchanceté. La classe de madame Lise, c’est enfin le portrait de Lise Coupal, institutrice chaleureuse et attentive, tolérante mais ferme, heureuse de découvrir chez un garçon timide un potentiel qu’elle ne soupçonnait pas. La Classe de madame Lise est une ode à l’enfance qui respire la foi en l’avenir et qui témoigne de la beauté de l’humanité.
Mention : Prix Jutra pour le meilleur documentaire, 2006; Compétition officielle aux Rendez-vous du cinéma québécois, 2006; Compétition officielle au Festival International du film francophone de Namur, 2006.
Pour voir l'article du quotidien Le Devoir intitulé : Dans la classe de madame Lise cliquez ici.
D'une pierre, deux coups !
Maintenant que ma typologie des grammaires est terminée, je vais à l'instant créer une typologie des dictionnaires bilingues français-anglais.
Comme je ne possède aucun dictionnaire bilingue français-anglais, je suis allé voir à la bibliothèque de l'université question de savoir si je pouvais en trouver un. Après quelques minutes de recherche, j'ai mis la main sur un bel ouvrage. Cependant, ce n'est pas un dictionnaire bilingue, mais plutôt un imagier multilingue.
Celui-ci s'intitule Le nouveau dictionnaire visuel multilingue (39 000 mots en français - 35 000 mots en anglais - 42 000 mots en espagnol - 25 000 mots en allemand - 42 000 mots en italien). Sur la couverture bleue et blanche, on y aperçoit en gros plan une image du coeur ainsi que de plus petites images dont un chien, un arbre, un robinet etc. Cet ouvrage, réalisé par Jean-Claude Corbeil et Ariane Archambault est publié chez les éditions Québec Amérique. Le nouveau dictionnaire visuel multilingue est un outil essentiel pour enrichir notre vocabulaire, pour trouver le mot juste et découvrir les choses qui nous entourent. Cet imagier offre une multitude de mots et de situations s'appliquant à la vie de tous les jours à l'aide d'images d'un réalisme saisissant qui facilitent la compréhension en un coup d'oeil.
Le nouveau dictionnaire visuel multilingue comprend un index qui cite tous les mots du dictionnaire en ordre alphabétique et ce, pour chacune des langues. On y trouve également 800 sujets regroupés en 17 thèmes. Des repères de couleur accompagnent chaque thème pour faciliter l'accès aux sections correspondantes. Et on ne l'appelle pas le Visuel pour rien puisqu'il est constitué de 6 000 illustrations proche de la photographie mettant en relief les éléments essentiels d'un objet qui correspondent aux mots. La principale qualité du Nouveau dictionnaire visuel multilingue est sa précision du dessin.
Or, comme rien n'est parfait, on ne retrouve aucune définition à l'intérieur du Visuel et on utilise un type de vocabulaire scientifique, ce qui signifie que les termes sont parfois plus complexes. Par exemple, si on ne sait pas ce que signifie le mot aorte, on doit aller voir dans un dictionnaire pour bien comprendre ce mot.
En conclusion, je dirais que malgré ces deux petits défauts, Le nouveau dictionnaire visuel multilingue est un instrument de référence lexicographique et encyclopédique sur lequel on peut compter afin d'associer l'image présentée au terme juste et actuel qui la désigne.
(Source de l'image : http://www.amazon.fr/nouveau-dictionnaire-visuel-Fran%C3%A7ais-Anglais-Espagnol-Allemand-Italien/dp/2764408137)
Comme je ne possède aucun dictionnaire bilingue français-anglais, je suis allé voir à la bibliothèque de l'université question de savoir si je pouvais en trouver un. Après quelques minutes de recherche, j'ai mis la main sur un bel ouvrage. Cependant, ce n'est pas un dictionnaire bilingue, mais plutôt un imagier multilingue.
Celui-ci s'intitule Le nouveau dictionnaire visuel multilingue (39 000 mots en français - 35 000 mots en anglais - 42 000 mots en espagnol - 25 000 mots en allemand - 42 000 mots en italien). Sur la couverture bleue et blanche, on y aperçoit en gros plan une image du coeur ainsi que de plus petites images dont un chien, un arbre, un robinet etc. Cet ouvrage, réalisé par Jean-Claude Corbeil et Ariane Archambault est publié chez les éditions Québec Amérique. Le nouveau dictionnaire visuel multilingue est un outil essentiel pour enrichir notre vocabulaire, pour trouver le mot juste et découvrir les choses qui nous entourent. Cet imagier offre une multitude de mots et de situations s'appliquant à la vie de tous les jours à l'aide d'images d'un réalisme saisissant qui facilitent la compréhension en un coup d'oeil.
Le nouveau dictionnaire visuel multilingue comprend un index qui cite tous les mots du dictionnaire en ordre alphabétique et ce, pour chacune des langues. On y trouve également 800 sujets regroupés en 17 thèmes. Des repères de couleur accompagnent chaque thème pour faciliter l'accès aux sections correspondantes. Et on ne l'appelle pas le Visuel pour rien puisqu'il est constitué de 6 000 illustrations proche de la photographie mettant en relief les éléments essentiels d'un objet qui correspondent aux mots. La principale qualité du Nouveau dictionnaire visuel multilingue est sa précision du dessin.
Or, comme rien n'est parfait, on ne retrouve aucune définition à l'intérieur du Visuel et on utilise un type de vocabulaire scientifique, ce qui signifie que les termes sont parfois plus complexes. Par exemple, si on ne sait pas ce que signifie le mot aorte, on doit aller voir dans un dictionnaire pour bien comprendre ce mot.
En conclusion, je dirais que malgré ces deux petits défauts, Le nouveau dictionnaire visuel multilingue est un instrument de référence lexicographique et encyclopédique sur lequel on peut compter afin d'associer l'image présentée au terme juste et actuel qui la désigne.
(Source de l'image : http://www.amazon.fr/nouveau-dictionnaire-visuel-Fran%C3%A7ais-Anglais-Espagnol-Allemand-Italien/dp/2764408137)
Mes grammaires : Une affaire pas si claire !
Bon !
Je me décide enfin à mettre ce travail en ligne sur mon blogue ...
Pourquoi cette longue hésitation ? Eh bien tout simplement parce que je ne possède qu'une seule grammaire et j'y fait toujours référence en cas de problèmes grammaticaux ou orthographiques.
Cependant, ma grammaire est aussi un dictionnaire. Il s'agit du Multidictionnaire de la langue française, 4e Édition de Marie-Éva de Villers (2003).
J'aime bien cet ouvrage parce que c'est un produit du Québec. Il est paru chez les éditions Québec Amérique. La couverture du Multi est à moitié bleu marine et blanche. Cependant, à l'intérieur, il n'y a ni images, ni couleurs ... Par contre, même s'il y en avaient, ce ne serait pas la raison pour laquelle je consulterais quotidiennement le Multidictionnaire. Avant de vous parler de la grammaire en tant que tel, mentionnons quelques aspects microtextuels utiles.
Dès que l'on ouvre le Multi, on aperçoit dans les premières pages, les noms des collaborateurs, les remerciements principalement adressés à l'Office de la langue française (OLF), aux membres du comité de lecture ainsi qu'aux nombreuses personnes ayant transmis des commentaires et suggestions d'ajouts ou de corrections. Ensuite, il y a la table des matières, une préface rédigée par M. Jean-Claude Corbeil, directeur linguistique. Celle-ci traite principalement des trois types de dictionnaires (de langue, terminologiques et encyclopédiques). Comme le mentionne M. Corbeil : «Le Multidictionnaire n'entre dans aucune de ces catégories. Il innove tant qu'il représente un nouveau type de dictionnaire, le dictionnaire pragmatique, qui prend comme angle d'analyse la situation réelle d'une personne au moment d'utiliser la langue. »
Le Multidictionnaire est différent des autres puisqu'il se concentre sur les difficultés de la langue française. Par la suite, on peut lire une introduction à la quatrième édition et une explications des différents icônes du Multidictionnaire, de l'alphabet phonétique, des abréviations utilisées dans l'ouvrage, de la liste des tableaux, du mode d'emploi, des modèles d'articles et enfin, on arrive au dictionnaire! Ce qui m'intéresse particulièrement à l'intérieur du Multidictionnaire, ce sont les différents tableaux facilement repérables et simples à consulter. En quelques minutes seulement, on peut trouver un tableau, le lire et le comprendre. Les explications, sont brèves, claires et faciles à comprendre. Puis, comme il serait beaucoup trop fastidieux de vous énumérer la liste des 126 tableaux exposant les notions fondamentales de la grammaire et de la syntaxe, je peux peut-être vous en nommer quelques-uns : les accents, les déterminants, la féminisation des titres, les majuscules, les noms composés, les participes passés etc.
Et ce n'est pas tout car en feuilletant le Multi, on peut consulter 76 modèles complets de conjugaison et remarques sur les particularités de formes pour tous les verbes irréguliers et les indications de l'auxiliaire à employer. Le Multidictionnaire peut même vous aider à rédiger votre curriculum vitae, des lettres professionnelles, des formules usuelles de correspondances tout en vous aidant à écrire les adresses correctement.
Finalement, à la toute fin de l'ouvrage, on y trouve une longue bibliographie de trois pages qui mentionnent toutes les sources consultées. Bref, le Multidictionnaire de la langue française est un outil essentiel pour toute personne désireuse de parfaire leur maîtrise du français écrit et parlé.
mardi 12 février 2008
Sujet de leçon : LA MAJUSCULE
Enfin! Après plusieurs heures de réflexion, j'ai réussi à trouver un sujet de leçon qui me plaît et avec lequel je vais avoir du plaisir à travailler, du moins je l'espère!
Je traiterai de la majuscule. Mon public d'apprenants sera probablement les jeunes du premier cycle au secondaire - première année. Je leur expliquerai quand mettre la majuscule et quand ne pas la mettre. Pour ce qui est des exercices, j'en ai trouvés plusieurs sur l'excellent site du CCDMD. Il s'agit d'activités pédagogiques, de dictées, etc.
En ce qui concerne l'activité finale, les jeunes, âgés entre 12 et 14 ans, devront créer un mini-journal dans lequel on y retrouvera : une critique cinématographique, culturelle ou musicale,
un article sportif, un article traitant de l'actualité et/ou un éditorial et bien entendu, des jeux concernant les majuscules.
Finalement, pour la pratique de lecture, j'ai consulté le Répertoire de littérature jeunesse et j'y ai trouvé un livre fort intéressant que je tenterai de dénicher à la bibliothèque : Les têtes à Papineau de Jacques Godbout.¹
Ce roman satirique met en scène un personnage à deux têtes. Une partie est logique et parle l’anglais. L’autre rêve et parle français. Le narrateur s’exprime au «nous» mais, en fait, il désigne une seule et même personne, celle qui a deux cerveaux. Godbout évoque, par cette «bicéphalité», la dualité du peuple québécois. De nombreuses références politiques et historiques fondent le récit. Ironie, satire, humour et caricature se retrouvent au plan sociopolitique, mais aussi au plan de la logique de cet imaginaire loufoque.²
(Source de l'image : http://ecoles.uneq.qc.ca/sitesec/)
1. GODBOUT. Jacques, Les Têtes à Papineau, roman, Paris, Editions du Seuil, 1981, 155 p.
2. PROVOST, Michelle , De la lecture... la culture, Sélection commentée d'ouvrages de fiction pour le secondaire, Services documentaires Multimédia , Montréal, 1995, 188 p.
Je traiterai de la majuscule. Mon public d'apprenants sera probablement les jeunes du premier cycle au secondaire - première année. Je leur expliquerai quand mettre la majuscule et quand ne pas la mettre. Pour ce qui est des exercices, j'en ai trouvés plusieurs sur l'excellent site du CCDMD. Il s'agit d'activités pédagogiques, de dictées, etc.
En ce qui concerne l'activité finale, les jeunes, âgés entre 12 et 14 ans, devront créer un mini-journal dans lequel on y retrouvera : une critique cinématographique, culturelle ou musicale,
un article sportif, un article traitant de l'actualité et/ou un éditorial et bien entendu, des jeux concernant les majuscules.
Finalement, pour la pratique de lecture, j'ai consulté le Répertoire de littérature jeunesse et j'y ai trouvé un livre fort intéressant que je tenterai de dénicher à la bibliothèque : Les têtes à Papineau de Jacques Godbout.¹
Ce roman satirique met en scène un personnage à deux têtes. Une partie est logique et parle l’anglais. L’autre rêve et parle français. Le narrateur s’exprime au «nous» mais, en fait, il désigne une seule et même personne, celle qui a deux cerveaux. Godbout évoque, par cette «bicéphalité», la dualité du peuple québécois. De nombreuses références politiques et historiques fondent le récit. Ironie, satire, humour et caricature se retrouvent au plan sociopolitique, mais aussi au plan de la logique de cet imaginaire loufoque.²
(Source de l'image : http://ecoles.uneq.qc.ca/sitesec/)
1. GODBOUT. Jacques, Les Têtes à Papineau, roman, Paris, Editions du Seuil, 1981, 155 p.
2. PROVOST, Michelle , De la lecture... la culture, Sélection commentée d'ouvrages de fiction pour le secondaire, Services documentaires Multimédia , Montréal, 1995, 188 p.
mardi 29 janvier 2008
Choix d'un livre pour enseignement FLE - PRIMAIRE
Bonjour (ou bonsoir selon le cas).
Aujourd'hui, je vous présente un excellent livre simple, mais TRÈS efficace pour enseigner à vos tout-petits l'application des participes passés. Cet ouvrage est un conte éducatif écrit par Chantal Contant, linguiste et professeure à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Ce livre est édité par les éditions Complètement Litho inc.
Parlons un peu plus de ce livre qui s'intitule L'histoire amusante de Participe Passé et qui raconte, en une quinzaine de pages seulement, l'histoire de Participe Passé, «une petite fille qui habite dans le village de La Phrase. Lorsqu'elle est seule, elle s'amuse et s'accorde avec les jouets qui l'entourent. Participe Passé a un copain prénommé Être qu'elle aime beaucoup. Être et Participe s'accorde toujours quand ils sont ensemble. Cependant, dans ce village, il y a aussi un autre garçon : c'est Avoir, le voisin de Participe. Avoir, lui, veut tout avoir. Alors, Avoir et Participe ne s'accorde pas du tout. Quand ils sont seuls tous les deux, ils se disputent. Heureusement, lorsque Avoir et Participe Passé se disputent, Être se place vite entre les deux et aussitôt, Participe et Avoir cessent de se quereller. Et quand Participe, Avoir et Être sont ensemble, Participe s'amuse sans dispute.» Puis, un peu plus loin dans le livre, on parle de la marraine de Participe Passé, Complément Direct que Participe appelle simplement C.D. et des deux petits frères jumeaux de Être : À Qui ? et Essentiel.
Finalement, on y trouve deux magnifiques tableaux qui décrivent en fait, les applications grammaticales. En résumé, il s'agit d'un magnifique ouvrage très bien illustré et très bien fait pour raconter les règles de base de l'accord des participes passés utilisés en français.
Bref, c'est un conte simple et éducatif !
Aujourd'hui, je vous présente un excellent livre simple, mais TRÈS efficace pour enseigner à vos tout-petits l'application des participes passés. Cet ouvrage est un conte éducatif écrit par Chantal Contant, linguiste et professeure à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Ce livre est édité par les éditions Complètement Litho inc.
Parlons un peu plus de ce livre qui s'intitule L'histoire amusante de Participe Passé et qui raconte, en une quinzaine de pages seulement, l'histoire de Participe Passé, «une petite fille qui habite dans le village de La Phrase. Lorsqu'elle est seule, elle s'amuse et s'accorde avec les jouets qui l'entourent. Participe Passé a un copain prénommé Être qu'elle aime beaucoup. Être et Participe s'accorde toujours quand ils sont ensemble. Cependant, dans ce village, il y a aussi un autre garçon : c'est Avoir, le voisin de Participe. Avoir, lui, veut tout avoir. Alors, Avoir et Participe ne s'accorde pas du tout. Quand ils sont seuls tous les deux, ils se disputent. Heureusement, lorsque Avoir et Participe Passé se disputent, Être se place vite entre les deux et aussitôt, Participe et Avoir cessent de se quereller. Et quand Participe, Avoir et Être sont ensemble, Participe s'amuse sans dispute.» Puis, un peu plus loin dans le livre, on parle de la marraine de Participe Passé, Complément Direct que Participe appelle simplement C.D. et des deux petits frères jumeaux de Être : À Qui ? et Essentiel.
Finalement, on y trouve deux magnifiques tableaux qui décrivent en fait, les applications grammaticales. En résumé, il s'agit d'un magnifique ouvrage très bien illustré et très bien fait pour raconter les règles de base de l'accord des participes passés utilisés en français.
Bref, c'est un conte simple et éducatif !
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